► Témoignage de Marielle D. -  Perpignan (P.O)

► Témoignage de Judith N. -  Perpignan (P.O)

Je suis née en Israël. Mes parents étaient des survivants de la Shoah. Les parents de ma mère ont péri dans les chambres à gaz. Pendant toute mon enfance et ma jeunesse, j’étais hantée par l’esprit de mort. Amère, je n’aimais pas le monde. Je savais que Dieu existait quelque part, mais je Le trouvais injuste de ne pas venir au secours de l’humanité. Ma conscience me disait ce qui était bien ou mal ; mais j’étais incapable de renoncer à mes erreurs. Je me sentais condamnée et indigne devant Dieu.

C’est ma mère qui la première de ma famille, est venue à la foi en Jésus-Christ ; c’était en 2001. Elle n’arrêtait pas de me parler du Seigneur. Pour lui faire plaisir, mon mari et moi l’avons accompagnée à son assemblée, au Culte un dimanche matin et là, nous avons été touchés par la présence palpable de Dieu.

J’étais profondément émue de voir tous ces croyants, debout et louant Dieu avec ferveur. Je trouvais enfin, ce que je cherchais depuis tant d’années : la joie et l’adoration pour Dieu. Je sentais Son Amour pénétrer mon cœur. Je voulais que Jésus Christ devienne aussi mon Sauveur.

A la maison je lisais la Bible avec avidité. Les Ecritures m’ont révélé la Sainteté absolue de Dieu ; elles m’ont révélé qu’Il est Vivant, qu’Il est le Messie d’Israël, qu’Il est mon Père Céleste, et que Sa volonté est que tous les hommes soient sauvés. Ma vie n’était plus vaine.

J’ai demandé pardon de l’avoir si longtemps offensé par mes péchés et j’ai pleuré durant plusieurs jours devant Lui, me laissant envahir par Son Amour, Sa Grâce, Son Pardon. Le Seigneur Jésus a restauré mon âme, m’a purifiée, délivrée de toute souillure. Il m’a rendue libre de l’emprise du mal. Que Son Saint Nom soit béni !

► Témoignage de Thierry L. - Prades (P.O)

Converti à l’âge de 25 ans, je n’avais pourtant pas de prédisposition à cela. J’avais même écrit un poème contre la Bible et les églises.

Mais un jour où j’avais pris trop de drogue, j’eus un malaise ; ayant du mal à respirer, je sentais ma vie partir sans pouvoir la retenir ; j’étais terrorisé. En un instant, tout le mal que j’avais fait se déroulait dans ma tête comme un film. Je me sentis condamné ; c’était comme si Dieu Lui-même était là. Sans avoir lu la Bible, j’étais convaincu que mort, j’irai tout droit en Enfer. Ainsi, avec le peu de force qui me restait, je demandais pardon à Dieu. Quelques instants après, le malaise disparut.

Les jours suivants, j’achetais une grosse Bible et commençait à la lire ; mais je n’y comprenais rien. Plus tard, je fis la connaissance de personnes ayant la foi ; elles m’expliquèrent le message de la Bible, mais je ne comprenais toujours pas. Cependant, je constatais qu’elles avaient quelque chose que je n’avais pas. Au fil du temps, je saisis que c’était la bénédiction de Dieu sur leur vie. Jaloux, je désirais vivement ce que ces gens possédaient. A ma demande, ils me conduisirent dans une église évangélique .

Je vérifiais toujours dans la Bible, si ce que le pasteur disait était exact. Puis petit à petit, les paroles du Pasteur ajoutées à la lecture de la Bible, concernant la venue de Jésus, le Fils de Dieu, sur la terre, puis sa mort sur la croix par Amour pour nous, devinrent évidentes pour moi. Ce fut merveilleux ! Et je découvrais que ce que la Bible enseigne, peut être vécu.

Aujourd’hui, je suis un homme heureux et j’en remercie notre Père Céleste !

► Témoignage de Jean-Claude L. - Perpignan (P.O)

Dès ma plus tendre enfance, j’aimais contempler le ciel étoilé. Il y avait dans mon cœur une certitude : il y a sûrement quelque chose ou quelqu’un derrière les étoiles.

En grandissant le monde submergeait mes rêves d’enfant et d’autres questions se posaient à mon esprit : pourquoi suis-je sur terre ? J’ai sûrement quelque chose à faire ici bas, un but à atteindre, mais lequel ?

Ces raisonnements m’amenèrent à découvrir les pensées et les principes de l’hindouisme, la parapsychologie, l’occultisme.

Un grand vide occupait mon cœur et je recherchais avec force une communion avec une entité suprême que j’imaginais telle une lumière parfaite, très élevée et inaccessible.

Quelques années plus tard, ma sœur m’expliquait que sa vie était transformée par l’Amour de Jésus. Je lui affirmais que je croyais en Dieu et que cela me suffisait, mais obstinément elle me répondait : croire en Dieu, c’est bien, mais Le connaître, c’est mieux.

Ainsi le vide et l’insatisfaction de mon cœur allaient grandissants face à un monde qui ne m’apportait rien si ce n’est un lot de craintes, de doutes et de déceptions.

Un jour, j’acceptais d’aller écouter l’Evangile. Là, j’entendis des paroles étonnantes et des chants merveilleux dont un disait « Mets dans mon cœur Seigneur, quelque chose de nouveau, mets dans mon cœur Seigneur, un renouveau. » Je fus touché par la Grâce de Dieu. C’était bien là ce dont j’avais besoin. Mais, par orgueil, je résistais encore sans savoir que c’était à Jésus lui-même que je résistais.

Pourtant, il frappait à la porte de mon cœur.

Puis, une soif intense de Le connaître naquit en mon esprit. Partout où j’allais au cours de mes déplacements professionnels, je cherchais une église où je pourrai entendre la prédication de l’évangile. Il me semblait que le vide de mon cœur  commençait à se remplir.

Deux mois s’étaient écoulés, quand un soir, seul dans ma chambre, j’écoutais les paroles d’un chant qui disait « c’est pour te sauver qu’Il a donné sa vie. »

J’arrivais à la croisée des chemins ; le Seigneur ôtait le voile qui m’empêchait de voir la Vérité. J’étais au pied de la croix et Jésus était là, cloué, mais encore vivant ! Il me révélait toute ma misère. Dans la détresse, je versais des larmes rendues amères par un profond regret. J’eus si mal d’avoir fait souffrir Jésus qui m’a tant aimé, Lui le Juste et l’Innocent. Je me suis pris en haine, j’ai haï mon péché. En coupable, j’implorais la Grâce de Dieu : pourras-tu me pardonner ?

A cet instant, je contemplais l’amour infini de Jésus pour moi. Son regard si doux, si tendre et sans reproche s’était abaissé sur ma misère. Son amour envahit tout mon être, chassant la noirceur de mes péchés. Il a brisé toutes mes chaînes et m’a délivré. Il a mis dans mon cœur l’assurance du pardon de tous mes péchés, effaçant ma vie passée par son sang précieux. Il m’a donné pour toujours l’assurance du salut de mon âme et, depuis ce jour, Jésus a pris ma main et je ne le lâche plus.

Toute ma vie a été transformée, le vide de mon cœur entièrement comblé. Désormais l’insatisfaction a disparu et je suis rempli de la vraie vie, de la vraie joie, du vrai bonheur.

Je sais maintenant qui se trouve derrière les étoiles ! Chose extraordinaire, il est aussi dans ma vie et dans mon cœur.

Pascal a dit : « dans le cœur de chaque être humain, il y a un vide en forme de Dieu »

Cher ami, ne cherchez plus, c’est de Jésus dont vous avez besoin. Ne voulez-vous pas le laisser remplir votre vie ? Lui seul peut vous permettre de faire la paix avec Dieu, pour recevoir le pardon de vos péchés et la vie éternelle.

Jésus est votre réponse !